deux demi-sourires = un homme heureux!
et désolé d'une si longue absence. Il y eut un voyage en Allemagne à préparer, un voyage en Allemagne à aller à, et un voyage en Allemagne à revenir de.
Il faut toujours voyager:
Je suis parti en trainant la patte, rechignant à qui mieux mieux de devoir trahir femme et enfants au nom de Madame Science. Mais l'Allemagne, ses dix degrés sous la pluie, ses BMW et ses bicyclettes, ses currywurst et ses immigrés Turcs, a un petit air d'Europe qui revigore. C'est curieux à dire, mais en Allemagne, je me sentais un peu comme en terre natale...
Le travail en soi n'a sans doute pas de quoi faire haleter deux lecteurs de blog insomniaques. Il s'agissait d'envoyer des ultrasons sur des petites souris noires puis d'occire les infortunés rongeurs pour vérifier que l'ultrason était bien arrivé au cœur du cerveau. À Guima (qui est persuadé que je voyage dans le but exclusif de visiter les Relais H des aéroports en quête de cadeaux pour lui), j'explique patiemment que mon boulot c'est de fabriquer une machine pour guérir les souris qui ont mal a la tête. Tout est une question de point de vue...
Mais en fin de compte, les voyages de business c'est comme la course à pied: le meilleur moment, c'est quand ca s'arrête. Et la cerise sur le gâteau du Papa qui laisse couardement sa femme s'occuper seule de la santé physique et mentale de deux petits diablotins et demi pour aller profiter de la piscine de l'hôtel et des spécialités culinaires du Baden-Wurtenberg (les asperges!), c'est qu'au retour je suis une star et les enfants m'adorent, moi et mes poches chargées de cadeaux.
Car c'est la principale vertu de ces prises de distance momentanées avec la famille et sa routine parfois bruyante, souvent stressante, toujours exténuante: on se rend vraiment compte à quel point on s'aime!
Il faut toujours voyager:
Je suis parti en trainant la patte, rechignant à qui mieux mieux de devoir trahir femme et enfants au nom de Madame Science. Mais l'Allemagne, ses dix degrés sous la pluie, ses BMW et ses bicyclettes, ses currywurst et ses immigrés Turcs, a un petit air d'Europe qui revigore. C'est curieux à dire, mais en Allemagne, je me sentais un peu comme en terre natale...
Le travail en soi n'a sans doute pas de quoi faire haleter deux lecteurs de blog insomniaques. Il s'agissait d'envoyer des ultrasons sur des petites souris noires puis d'occire les infortunés rongeurs pour vérifier que l'ultrason était bien arrivé au cœur du cerveau. À Guima (qui est persuadé que je voyage dans le but exclusif de visiter les Relais H des aéroports en quête de cadeaux pour lui), j'explique patiemment que mon boulot c'est de fabriquer une machine pour guérir les souris qui ont mal a la tête. Tout est une question de point de vue...
Mais en fin de compte, les voyages de business c'est comme la course à pied: le meilleur moment, c'est quand ca s'arrête. Et la cerise sur le gâteau du Papa qui laisse couardement sa femme s'occuper seule de la santé physique et mentale de deux petits diablotins et demi pour aller profiter de la piscine de l'hôtel et des spécialités culinaires du Baden-Wurtenberg (les asperges!), c'est qu'au retour je suis une star et les enfants m'adorent, moi et mes poches chargées de cadeaux.
Car c'est la principale vertu de ces prises de distance momentanées avec la famille et sa routine parfois bruyante, souvent stressante, toujours exténuante: on se rend vraiment compte à quel point on s'aime!
la Vie nous gâte bien avec ces diablotins. Alors, la question est ouverte: comment lui rendre la pareille, à la Vie? Comment remercier l'Existence de tous les bienfaits dont elle nous comble?
Sur ce jeu-concours, auf Wiedersehen. Les gagnants recevront la Paix Intérieure.
Bisous,
Francois & Flia
Sur ce jeu-concours, auf Wiedersehen. Les gagnants recevront la Paix Intérieure.
Bisous,
Francois & Flia